À Dakhla en revenant de balade, quelque peu fatigué sans doute (le soleil tapant fort malgré mon chèche), je regardais deux palettes de parpaings déposées devant une maison en construction. Côté rue, elles étaient enveloppées d’une couverture. Étonné, je me disais qu’il fallait que les parpaings soient, ici, des matériaux bien précieux pour qu’on les protège ainsi avec une couverture (?). En me rapprochant, constatant la qualité de ces couvertures et leur parfait état, mon étonnement était encore plus grand... On avait, bien sûr, profité de la présence de ces palettes pour mettre à sécher deux couvertures que l’on venait de laver.